Jo n’a pu venir à cause d’un dos endolori par jardinage, ni Marie-Charlotte, elle par devoir filial.
Place communale d’Auderghem, nous n’étions donc que 6 à prendre le départ à 9 h30. Margriet avec le vélo prêté par sa belle-fille (la batterie du sien a rendu l’âme), Bruno, Jean-Claude, Luc, Mao et Michel en guide du jour.
Le matin 26 km. Arrivée à « La bonne franquette », rue de Kasterlinden à Berchem Sainte Agathe à 13 h30, soit une moyenne de 6,5 km/h, un record.
Il faut dire qu’on s’est arrêté devant les fresques de Geluk sur le mur des casernes, à la place du roi vainqueur, à la statue du tireur à l’arc par Arthur Dupagne, en face de la maison art nouveau des époux Cauchie, au mémorial de Henri Compère aux victimes des attentats du 22 mars 2016 près du rond-point de la rue de la loi, devant le parlement, dans le parc de Bruxelles et devant le palais royal, Léopold II à cheval par Thomas Vinçotte, dans le joli parc d’Egmont, ensuite le square du petit Sablon conçu en hommage aux comtes d’Egmont et de Hornes, martyrs de la future Belgique ; l’intérieur de l’église N.D des victoires au Sablon valait une visite et aussi un arrêt devant la statue humoristique de Pieter Brueghel à la place de la Chapelle par Tom Frantzen , et rue du midi, devant celle de « madame chapeau » par le même.
On est passé devant la statue de Nicolas Rouppe, premier bourgmestre de la jeune Belgique. Plutôt que luncher au « Comme chez soi », nous avons zigzagué entre les piétons depuis la place Fontainas (lui aussi ancien bourgmestre) bien aménagée en espace vert, terrain de jeux et de sport, la place de la bourse, la place de Brouckère (encore un bourgmestre, mais aussi auparavant membre du Congrès, constituant, ministre de l’intérieur).
Les arrêts ont repris devant l’ancien grand hospice, la superbe façade baroque de l’église Saint Jean-Baptiste du Béguinage, la fontaine Anspach remontée en 1981 au marché aux poissons, de style éclectique (le n’importe-quoi bruxellois) et devant la statue de la séduisante incarnation de la patrie remerciant le pigeon-soldat.
Après la traversée du boulevard à la porte de l’Yser, du parc Maximilien libre de campeurs venus d’ailleurs et du canal, nous sommes entrés dans Tour et Taxis.
Pourquoi ne pas profiter des commodités offertes par la gare maritime ?
Après la sortie du parc côté station métro Belgica et place Simonis, nous avons parcouru le parc Elisabeth où a eu lieu récemment le drame de cet enfant de 11 ans tué par une voiture de police.
Plus loin, l’allée contournant la masse art déco de la basilique, un léger cafouillage du guide et on a retrouvé au Zavelberg le trajet de la promenade verte suivi jusqu’au restaurant.
Bien accueillis malgré l’heure tardive. Cuisine de qualité comme les deux fois précédentes.
Malheureusement, à la sortie, le petit ordinateur amovible du vélo prêté à Margriet a disparu.
D’assistance, passage à souffrance dans les montées heureusement minoritaires dans le parcours de la voie verte qui passe près de la station de métro Aumale.
Margriet a depuis communiqué avoir pu rentrer chez elle sans problème particulier.
Après la traversée difficile, même à pied, du marché très animé de la place de la Résistance et de la rue Wayez, on a retrouvé la liberté du vélo le long du canal jusqu’à l’écluse d’Anderlecht.
La promenade verte passe par là. Nous l’avons suivie jusqu’à Uccle Calevoet, ensuite la piste cyclable le long de la chaussée de Saint Job et puis les 200 m de l’avenue Hellevelt pour lesquels le bouton turbo se justifie.
Ensuite, le Dieweg et son cimetière avec toilette, l’observatoire, le bois de la Cambre, le golf de Boitsfort, la terrasse du Drohme pour le verre de clôture.
Arrivés à Hermann Debroux, on n’est pas loin des 48 km contre 42 annoncés.
Avec les excuses de l’organisateur, meilleures amitiés à toutes et tous.
Nous étions 6000 au départ, le Bxl Tours a de plus en plus de succès.Notre petite équipe à nous était la même que l’an passée: Guy, ma plus jeune fille Laura et moi Martine.A trois, c’est sympa, on sait que chacun aura une place sur le podium!!đ„łPour rappel, l’année passée Laura et Guy avait terminé avec un temps de 1h 40 et 15 secondes ( oui ils s’étaient permis une petite échappée đ„č) Martine a 1 h 40 et 24 secondes .Cette année, très gros groupe de départ, difficile de se retourner pour ne pas se perdre de vue, il y a eu beaucoup d’abandon et malheureusement pas mal de chutes dont deux assez sévères.On a tout donné, l année passée c’était optionnel, cette année c'est sacré.Nos jambes étaient affûtées, notre préparation mentale, notre équipement au top et vos trois héros à deux roues se sont lancés dans cette course de 40 kilomètres.Nous étions dés les premiers tours de pédales dans une position aérodynamique, gel énergétique dans la poche, cadence de pro et musique dans les oreilles pour Martine.Nous savions que nous allions performer đVoici les résultats officiel: Attention… roulement de tambours đȘ…- Numéro 3: Monsieur Guy Sterck en 1 heure 29 et 53 secondes soit une vitesse de 26,700 km/heure. Bravo à lui!!! đ€©-Numéro 2: Madame Martine Legrand en 1 heure 25 et 45 secondes soit une vitesse de 27,989 km/heure. trop contente đ„ł aujourd’hui je dors avec et mardi je roule avec ma médaille đ„ đ€Șđ€Șđ€ȘNumero 1: Madame Laura Declercq en 1 heure 25 et 43 secondes soit une vitesse de 27, 994 km/ heure. bravo ma Laura đ„°En un an on a gagné entre 11 minutes et 15 minutes, on rajeuni, on s’améliore grâce à notre amour du vélo, et de l’apéro peut-être aussi đMerci à ceux qui nous ont encouragés et à l’année prochaine đ.
Nous étions 9 au départ à savoir Hilde, Yves, Ghislaine, Michel L, Luc, Jean Claude, Bruno et Guy et Mao guides du jour.
Bibi, Viviane et Yves, Guy, Jean-Claude, Mao et Michel, organisateur de la promenade semblable sous une pluie inoubliable en 2023, sont au départ avec Brigitte et Jean-Louis, Rose-Lise, Bruno, Francis, Guy, Jo, Luc, René, Yves d F et Ann la fille de Michel invitée australienne.
Cette fois, il fait beau et sec mais le fond de l’air est frais quand on quitte le parking du quai de l’écluse le long de la Sambre à Namur.
Après quelque 300 m, on entre dans le parc Louise-Marie créé après la démolition fin XIXème s. de la quatrième enceinte et le comblement des douves de la ville. Les ruines d’un pont d’accès ont été conservées. Après traversée d’une brocante, on passe dans le quartier ancien avec arrêt devant le musée Félicien Rops le célèbre peintre un peu sulfureux mais gloire de la ville. On passe par la place d’Armes avant de traverser le pont au-dessus de la Sambre qui nous conduit à l’espace du Grognon, pointe du confluent formé avec la Meuse.
Cet endroit fut à l’origine le berceau de la ville et un habitat très dense s’y est développé jusqu’à sa disparition au profit de son aspect actuel totalement ouvert offrant une vue dégagée sur le paysage.
Face à nous, la citadelle « garnie » d’un deuxième original de la tortue de bronze chevauchée par une représentation de son créateur l’artiste Jan Fabre. L’œuvre est appelée « Searching for Utopia » en référence à celle de l’humaniste Thomas More qui rêvait au XVIème s. d’un monde idéal. Le premier original regagnant la mer placé à Nieuport y avait sans doute mieux sa place, à moins que la lenteur des Lum’çons namurois…
Sous nos pieds, le tunnel (à 3 M € prévu 0.8)) permettant aux parlementaires wallons d’éviter les 20 m de traversée de chaussée pour gagner l’entrée du siège du Parlement ( à 46 M € prévu 10).
Nous empruntons la belle passerelle cyclo-piétonne qui enjambe la Meuse pour gagner Jambes, avec arrêt au milieu pour profiter du point de vue .
En rive droite, on longe la villa pré art-déco conçue par l’architecte Alphonse Balat , puis on roule en direction aval jusqu’au pont du chemin de fer qui comporte aussi un passage cyclo-piétonnier.
Nous repassons ainsi sur la rive gauche. Nous la suivrons par la piste cyclable le long de la Meuse jusqu’à la passerelle du barrage de Taillefer. Arrêt « technique » tout de même à l’auberge de jeunesse, oui, au lieu-dit La Plante.
Revenus en rive droite et après 2 km de route, on retrouve un chemin calme qui se divise un peu plus loin en un sentier en bordure de Meuse et un chemin asphalté. Comme ce sentier n’a de cyclable que le panneau qui l’indique, le groupe se divise lui aussi selon les préférences pour se retrouver ensuite à Godinne.
Arrêt-repas à « La flèche brisée », taverne du club de tir à l’arc. Le compte-rendu du 12.08.2023 relate l’incident du pneu éclaté et l’efficace intervention de la cuisinière.
Cette fois, l’incident c’est le compte global où manquent 30 € selon la serveuse alors que chacun a réglé son dû. Jo étend alors sa qualité de président à celle de caution pour couper court à toute discussion. Merci à lui de la part de tous les participants.
On traverse le pont de Godinne pour le retour par le Ravel qui longe la Meuse.
Une fête folklorique anime le centre de Namur. On ne peut espérer y trouver place pour le verre de tradition. A regrets, retour direct au parking de départ.
Dix d’entre nous décident cependant de revenir vers la place Saint Aubin où se trouve le café « Le Chapitre » caché à l’ombre de la cathédrale. C’est l’anniversaire de Viviane, Yves offre le verre qui manquait pour clôturer cette journée.
Bon anniversaire, Viviane et amitiés à toutes et tous.
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